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Sig Valax

siglen.vlx@gmail.com

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Je m’abandonne à la fragilité des sons qui naissent puis s’effacent. À travers mes synthétiseurs, j’invite l’écoute à se perdre dans un espace où l’archaïque se mêle au futur, où la poésie s’invente dans l’instant improvisé.

Mes improvisations naissent d’alliances inattendues : oscillateurs et bourdons, nappes drones et éclats glitchés, voix organiques et machines détournées. Chaque geste devient une matière à recycler, un fragment réassemblé dans une écologie sonore où le hasard et l’intuition fabriquent des mondes.

En quadriphonie, les synthés se déploient comme des constellations mouvantes, sculptant l’espace d’écoute en spirales. Le public, au cœur du dispositif, est invité à traverser ces paysages vibratoires, à co-écrire avec moi une partition du présent.

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Sig Valax explore un chemin singulier dans la musique expérimentale. Son lien au son est d’abord une histoire d’intimité, peau à peau avec la matière, ses frictions, ses débords, ses surgissements. Elle sculpte avec des synthétiseurs analogiques, modulaires, et le Perséphone un synthétiseur à ruban qu’elle apprivoise comme on entrouvre une faille : interface tactile entre voltage, tension et relâchement. Ses paysages sonores bruissent de grains saturés, de feedbacks brûlants, d’harmonies en déséquilibre, de textures frottées jusqu’à l’érosion. Le corps y tremble, les machines respirent. Elle compose dans l’instant, à l’écoute de ce qui se tord, s’élève, ou se dérobe. C’est une musique de seuils, où passent les intuitions, les fantômes, les battements du monde. Sa pratique s’enracine entre improvisation, théâtre sonore, création radiophonique, et collaborations scéniques souvent en lien avec des artistes performeuses et chorégraphiques comme Anna Gaïotti, Aniara Rodado ou Camille Lacroix. On la retrouve aussi dans plusieurs ensembles comme Sauges, Vierge Noir e, Seuil Optique, MMM, Mesce Basse, Elek Ember, Lucus Furrina où l’écoute collective trace la forme comme une cartographie intérieure.

Formée à la composition électroacoustique auprès de Christine Groult au conservatoire de Pantin (DEM), diplômée d’un mastère spécialisé de l’Ensci en création et technologie contemporaine, elle multiplie les voies : pièces électroacoustiques et radiophoniques (ARTE Radio), installations interactives (La forêt aux esprits, Ophidance, Serpent-air, Oghamber). À côté, elle engendre ses « Onirochromes », photographies issues de visions mentales, d’éclats oniriques. Dans la série Arborichrome, les arbres se métamorphosent en présences liminaires, suspendues entre apparition, effacement et expansion poétique. Ce qu’elle cherche ? Des états à traverser, des seuils à entrouvrir, des vertiges à habiter.

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